French Tech Day 2022 : découvrez les profils des intervenants !
Le French Tech Day 2022 dévoile sa programmation. L’événement annuel, porté par La French Tech Bordeaux, étoffe sa proposition avec cette année, deux scènes au lieu d’une ! Découvrez l’identité des speakers qui interviendront le 22 novembre au Palais de la Bourse à Bordeaux.
Toute l’équipe travaille d’arrache-pied pour bâtir un French Tech Day revisité, plus dense, plus incisif. 2000 personnes sont attendues pour cet événement qui a vocation à rassembler tous les acteurs de l’innovation de Bordeaux et de Nouvelle-Aquitaine, et toutes celles et ceux qui s’y intéressent. Parmi les nouveautés de la prochaine édition :
- Deux scènes au lieu d’une, avec une programmation parallèle jusqu’à 17h30. Cette année, chers visiteurs, il vous faudra choisir 😉
La scène 1 illustrera des grands sujets généraux qui nous tiennent à cœur tels que l’impact, la diversité et l’inclusion… La scène 2, volontairement plus intimiste, sera tournée vers des sujets anglés différemment. - Aucune table ronde, uniquement des formats talks pour favoriser les interventions percutantes
- Aucun talk de plus de 15 minutes, pour aller à l’essentiel
- Un événement paritaire avec autant de femmes que d’hommes parmi les speakers.
Découvrez sur cette page les profils des speakers qui interviendront le 22 novembre lors du French Tech Day 2022.
« Pourquoi un Cloud durable est nécessaire à notre écosystème Tech européen ? »
Caroline Comet Fraigneau, vice-présidente France, Benelux et Afrique Moyen-Orient d’OVHcloud
Caroline Comet-Fraigneau a rejoint OVHcloud il y a 5 ans. Après avoir dirigé les activités web et communication à travers le monde, elle a finalement pris la tête des activités France, Benelux et AME (Afrique et Moyen-Orient). Avant de rejoindre OVHcloud, acteur du cloud souverain, elle a passé 20 ans dans le secteur B2B des télécom à diriger différentes activités allant de la gestion de comptes à la gestion de business units, toujours axée sur les besoins des clients et la valeur apportée par la technologie. Diplômée d’une école d’ingénieur, Telecom Paris, elle est titulaire d’un MBA du Collège des Ingénieurs.
« De navigateur à entrepreneur Tech »
Yves Parlier, fondateur de Beyond the Sea
Passionné de voile, Yves Parlier en a fait son métier après son cursus d’ingénieur en matériaux composites. Au fil des années, le navigateur au large a remporté des courses aussi prestigieuses que la Solitaire du Figaro ou la Transat Jacques-Vabre, participant à plusieurs Vendée Globe… Il développe aussi une startup, Beyond the Sea, basée sur le Bassin d’Arcachon. La société met au point des solutions de traction automatisée, par une aile de kite, des bateaux et cargos. Son objectif : contribuer à décarboner le transport maritime. Un prolongement logique pour ce féru de technologies, qui a trouvé en Nouvelle-Aquitaine un territoire leader mondial des composites, idéal pour innover.
A 19h15, Scène 1
« L’international oui, mais pas sans financement »
Nicolas Sarramia, responsable régional opérations internationales, Arkea Banques Entreprises & Institutionnels – Crédit Mutuel du Sud-Ouest
Le groupe coopératif Crédit Mutuel Arkéa est composé des fédérations du Crédit Mutuel de Bretagne, du Sud-Ouest et de leurs caisses locales adhérentes, ainsi que d’une quarantaine de filiales spécialisées (Fortuneo, Monext, Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels, Arkéa Investment Services, Suravenir …). Nicolas Sarramia a quant à lui plus de 17 ans passés à accompagner les entreprises à l’international au sein des réseaux de différentes banques (BPCE, Crédit Mutuel Arkéa) et via des métiers différents : sales sur marché des changes, responsable service international, expert international, responsable back et middle offices entreprises et ETI, responsable régional commerce international. Lors de ce talk, il livrera de manière didactique ses conseils pour bien se lancer à l’international.
A 15h45, Scène 2
« Comment se préparer à l’échec de sa startup ? »
Aidan O’Brien, fondateur de Gloo
Entrepreneur expérimenté, Aidan O’Brien est établi en France depuis quelques années. Il a passé plus de 20 ans dans l’univers de la hight tech, occupant des postes stratégiques (business, management) chez EMC, Dell Technologies… En 2017, il fonde à Bordeaux Gloo, une startup qui avait vocation à favoriser les sorties spontanées entre amis, collègues… L’application mobile s’appuyait sur la géolocalisation, les préférences… pour fluidifier le choix du bar, du restaurant, des loisirs… pour lutter contre le fameux dilemme social. Gloo a malheureusement été confrontée dès son lancement aux conséquences du Covid-19 et aux confinements. Aidan reviendra sur les leçons qu’il a apprises durant l’échec de Gloo, et livrera ses conseils pour que cette expérience servent à d’autres entrepreneur.e.s.
A 17h40, Scène 1
« En mouvement, connecté et responsable »
Damien Garot, CEO de Stellar
Damien a 25 ans d’expérience dans le secteur spatial, sur des enjeux de développement et d’investissement. Entre autres accords, il a signé le premier partenariat du secteur spatial avec Facebook, pour apporter le haut débit par satellite en Afrique. Stellar est sa troisième constellation de satellites broadband après OneWeb et SkyBridge. Damien pense que la croissance de demain viendra de nouveaux marchés, où le secteur spatial s’intégrera dans l’économie numérique et terrestre. C’est pourquoi il a cofondé Stellar : pour apporter le leadership des données au secteur de la mobilité. Damien est ingénieur de formation (ISAE-Supaéro) et titulaire d’un Executive MBA de l’EM Lyon.
A 19h, Scène 1
« Startups, misez sur la diversité, ça paie ! »
Sarah Tahlaiti, directrice des opérations de Willa
Ancienne avocate en propriété intellectuelle, passionnée par la création et l’innovation, Sarah s’engage au quotidien pour plus de mixité, convaincue que les femmes doivent prendre part aux grandes évolutions futures pour répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain. Elle a rejoint Willa depuis bientôt 3 ans pour matérialiser cette conviction en actions concrètes et favoriser le développement d’activités innovantes portées par des femmes. Willa a accompagné plus de 1.800 femmes dans leurs projets et 850 startups via ses 17 programmes d’accompagnement.
A 15h20, Scène 1
« Startup, grand groupe : comment collaborer ensemble ? »
Katia Joneaux, responsable innovation de la Mutuelle Ociane Matmut et Benoit Egarnes, directeur commercial de Synapse Medicine
Katia Joneaux a rejoint le groupe Matmut en 2019 en tant que responsable développement et communication de la Mutuelle Ociane Matmut, avant de prendre la responsabilité de l’innovation santé en janvier 2022. Auparavant, elle a occupé pendant près de dix ans différents postes de management en marketing et communication dans le secteur bancassurances.
Scientifique de formation, Benoit Egarnes voulait avoir un impact concret sur la santé, tant côté professionnel de santé que patients. Il a donc rejoint la startup bordelaise Synapse Medicine il y a presque 3 ans. L’entreprise a cinq ans et travaille sur le bon usage du médicament. Synapse se développe dans sept pays et a levé 35 millions d’euros en trois ans. Elle a également développé une application grand public, Goodmed.
Ce talk sera réalisé en duo : Katia et Benoit aborderont le sujet des collaborations entre startup et grand groupe.
A 16h45, Scène 2
« Logiciels : comment résister face au rouleau compresseur américain sur son marché ? »
Victor Douek, CEO de Sellsy
Après plusieurs expériences en finance en France et à l’étranger, Victor décide en 2016 de quitter Paris pour rejoindre les fondateurs de Sellsy afin de s’engager dans une aventure entrepreneuriale ambitieuse, installée dans sa ville natale à La Rochelle. Sellsy développe une solution française de gestion d’entreprise réunissant CRM, facturation et comptabilité dans une même interface. Durant ce talk, il évoquera un thème cher à ses yeux : comment émerger et faire de l’hypercroissance sur son marché domestique face aux leaders américains déjà très implantés.
A 17h15, Scène 2
« Peut-on gagner de l’argent avec l’open source ? »
Alexandre Chopin, COO de Nuxtlabs
Web entrepreneur et passionné par le développement de l’open source, Alexandre Chopin est le cofondateur de Nuxtlabs, discrète société tech bordelaise mais dont l’équipe est très internationale. NuxtLabs est né en 2017 quelques mois après la sortie de NuxtJS et le besoin de nombreuses entreprises en formations et conseils Nuxt. La société développe des logiciels open source axés sur l’expérience des développeurs pour résoudre les contraintes de développement web modernes. « En tant que développeurs, nous croyons en l’importance et au pouvoir de l’open source. L’innovation technologique appartient aux auteurs open source qui ont changé le chemin des entreprises, systèmes d’exploitation, frameworks et bien d’autres. » Alexandre abordera le délicat sujet du modèle économique pour les startups de l’open source.
A 16h30, Scène 2
« Sales machine : comment passer de 0 à 1000 clients ? »
Laetitia Fall
Entrepreneure, Laetitia a notamment cofondé notamment la startup Seekube, solution de jobdating en ligne. Dans ce cadre, elle développé l’équipe commerciale pendant 7 ans. Il y a 18 mois, Seekube a intégré le groupe Hellowork, un des leaders dans le recrutement. Laetita a quitté l’aventure un an après pour tester de nouvelles choses. Elle a alors créé une nouvelle entreprise et aide les entreprises à booster leur vente de la bonne façon, soit en les accompagnant dans leur stratégie commerciale, soit en formant leur équipe de vente. En parallèle, Laetitia crée un média, Vendu(e), où elle partage ses stratégies et conseils pour vendre plus.
A 17h20, Scène 1
« L’exit, est-ce vraiment une fin ? »
Xavier Maurin, directeur division télémédecine d’Enovacom
Ingénieur software, responsable de la veille technologique au sein de Lectra puis créateur d’un cabinet de conseil en stratégie UX auprès d’éditeurs de logiciels, Xavier Maurin cofonde Exelus à Bordeaux fin 2014. La startup édite la plateforme de télémédecine Nomadeec. En juillet 2022, Enovacom, filiale Santé d’Orange Business Services, fait l’acquisition de Nomadeec qui devient socle de sa division télémédecine. Lors de ce talk, Xavier abordera le sujet de l’exit, envisagée comme une action stratégique vers une nouvelle étape de la startup et non pas comme une fin en soi.
A 17h10, Scène 1
« Va-t-on sauver le monde avec la réalité augmentée ? »
Ambre Assor, doctorante à Inria
Ambre a fait une école d’ingénieur en photonique et est actuellement en 3e année de thèse au sein d’Inria dans une équipe IHM (interfaces homme-machine // équipe-projet Potioc). Elle travaille sur la visualisation en réalité augmentée. Les technologies AR bénéficient à beaucoup de domaines (médecine, éducation, etc..). Les réflexions autour de leur utilité sont primordiales et toujours nécessaires d’autant plus que leur impact sur l’environnement n’est pas négligeable. L’équipe de recherches explore ces technologies pour un usage non expert, au plus proche de l’utilisateur et pour offrir une expérience qui fait sens dans le monde de demain. Par exemple, comment peuvent-elles servir à améliorer la conscience environnementale des individus ? Sont-elles plus efficaces que les technologies « plus classiques » pour ce propos ?
A 15h30, Scène 2
« Faire émerger une nouvelle génération de talents de la Tech »
Anthony Babkine, délégué général et cofondateur de Diversidays et TechYourPlace
Entrepreneur social, Anthony Babkine est cofondateur et délégué général de Diversidays, association nationale (loi 1901) d’égalité des chances qui prône le numérique comme accélérateur de diversité. Originaire d’Evry-Courcouronnes dans l’Essonne, il connaît les difficultés scolaires avant d’être épaulé par sa famille, les associations de sa ville et l’association Mozaïk RH. Nommé Directeur Général adjoint de l’agence TBWA\Corporate en charge du numérique à l’âge de 30 ans, il constate rapidement le manque de diversité dans les métiers du numérique et cofonde avec Mounira Hamdi, l’association Diversidays en 2017. Sa vocation : faire du numérique l’ascenseur social du XXIe siècle en accompagnant les talents de la diversité vers les métiers et l’entrepreneuriat Tech et numérique.
A 15h30, Scène 1
« Les enjeux de la blockchain écologique »
Damien Robert, chargé de recherche à Inria
Entré premier à l’Ecole normale supérieure (option informatique), Damien Robert mène ensuite une thèse de cryptologie au Loria à Nancy. Il effectue ensuite stage et postdoctorat à Microsoft Research à Redmond aux Etats-Unis (implémentation de fonctionnalités de chiffrement homomorphe dans leur librairie cryptographique). Chargé de recherche au centre Inria de l’Université de Bordeaux, au sein de l’Institut Mathématiques de Bordeaux, Damien travaille au sein de l’équipe projet Lfant sur des sujets tels que les algorithmes effectifs en théorie des nombres et la géométrie algébrique, avec des applications en cryptologie, en particulier post-quantique. Le sujet de son talk : « Les enjeux de la blockchain écologique ».
A 16h30, Scène 1
« Des solutions concrètes à impact »
Alix de Luze, cheffe de projet LaCollecte.tech Nouvelle-Aquitaine à Emmaüs Connect & Paul-Adrien Cormerais, CEO cofondateur de Pony
Alix de Luze présentera à l’occasion du French Tech Day l’opération LaCollecte.tech. Un appel aux dons porté par Emmaüs Connect qui consiste à collecter du matériel inutilisé (ordinateurs, smartphones…) collectés, reconditionnés puis distribués aux plus précaires qui en ont besoin pour leurs démarches du quotidien. La French Tech Bordeaux s’associe à LaCollecte.tech.
Paul-Adrien Cormerais est le cofondateur de Pony, qui développe un modèle original dans la mobilité urbaine partagée. Pour contribuer à réduire l’empreinte carbone du French Tech Day, La French Tech Bordeaux a noué un partenariat avec Pony afin d’inciter le public à venir en vélo.
« Hypercroissance, rentabilité et bootstrap… c’est possible ? »
Julien Hodara, CEO de Libon
Libon est une application qui permet d’appeler les fixes et les mobiles du monde entier au meilleur prix avec la meilleure qualité. Dans un monde où l’on croit que l’internet et les communications via les réseaux sociaux sont partout, les diasporas, notamment africaines et philippines du monde entier, utilisent toujours le numéro de téléphone pour classiques joindre leurs familles au pays. Née dans le giron d’Orange, le projet s’en est émancipé pour devenir une entreprise indépendante en 2018. Membre du programme national FT120 des 120 startups françaises en hypercroissance, elle n’a pas levé de fonds depuis sa phase de seed. Son CEO Julien Hodara expliquera comment cette scale-up concilie hypercroissance, rentabilité et autofinancement.
A 17h40, Scène 1
« Avoir un impact… sans attendre 2050 »
Julie Neuville, Chief impact officer et cofondatrice de Materrup
Materrup contribue à la décarbonation du secteur du bâtiment avec son process innovant de production de ciments bas carbone à base d’argile crue. Ce ciment local réduit de moitié les émissions de CO2, sans compromettre ni la performance ni la qualité du béton. Née dans les Landes, la startup industrielle, membre du programme French Tech Green20, est en pleine accélération avec des projets de déploiement d’usines en France et à l’étranger. Sa cofondatrice Julie Fort Neuville démontrera lors de son talk qu’il est possible, dès aujourd’hui et sans attendre, de créer des projets à impact. Qu’il est possible de faire vite et d’accélérer, sans repousser nos actions aux prochaines décennies.
A 16h45, Scène 1
« Quelle est la durée de vie d’un fondateur de startup deeptech ? »
Jean-Luc Treillou, cofondateur de Treefrog Therapeutics, Ysopia Biosciences, API Distribution…
Jean-Luc Treillou est un multi-entrepreneur connaissant par cœur l’univers des deeptechs, notamment dans la santé. Il porte depuis des années une réflexion sur le « casting dynamique » des startups deeptech : « Penser que celui qui a eu l’idée, celui qui a fait décoller, sera le même que celui qui va faire la phase de scale-up, l’implantation à l’international, l’introduction en bourse ou les deals planétaires… c’est une injonction trop lourde. » Comment savoir si on est encore la bonne personne et quand passer la main, quels indicateurs mettre en place, comment accepter de n’être plus « que » le fondateur ou la fondatrice… feront partie des sujets abordés.
A 17h, Scène 2
« Les licornes planent-elles au-dessus d’un nuage de CO2 ? »
Shirley Jagle, CEO de Kairos Agency
Kairos Agency est une agence web bordelaise, spécialisée en éco-conception. Elle est articulée autour de trois savoir-faire : un pôle studio avec une équipe dédiée à la création de marque, design et motion, spécialisée en 3D ; un pôle tech avec un équipe de développeur et UX spécialisée en PHP Laravel et WordPress qui déploie des sites vitrines, extranet, e-learning… et un pôle Startup Studio qui investi dans la phase de seed en tech for equity en développant le prototype de startups digitales. La société a été créée et est dirigéee par Shirley Jagle depuis 2012. Kairos Agency est certifiée Bcorp depuis 2022 pour ancrer ses 10 ans d’engagement RSE. Shirley Jagle porte une vision affutée sur les liens entre numérique et environnement, qu’elle livrera lors du French Tech Day.
A 15h15, Scène 2
« Pourrons-nous lire dans les pensées en 2050 ? »
David Trocellier, doctorant, data scientist, membre de l’équipe Potioc / Inria
Une partie de la société civile, et du monde de la tech, a une vision erronée sur les interfaces cerveau ordinateurs. « Beaucoup pensent que l’on va pouvoir « contrôler des drones par la pensée » ou « Écrire du texte juste en l’imaginant », ce qui est loin d’être le cas. Ce ne sera pas possible, au-delà des limites techniques il y a des limites physiques ». Doctorant faisant partie de l’équipe-projet Potioc commune entre Inria, Université de Bordeaux et CNRS, spécialiste en neuroscience et en intelligence artificielle, David Trocellier expliquera pourquoi cette vision paraît déconnectée des possibilités selon lui, et abordera les réels potentiels des interfaces cerveau ordinateurs, notamment dans la santé. David travaille sur l’amélioration de la motricité des membres supérieurs après un AVC.
A 16h15, Scène 2
« Pourquoi les NFT survivront à tout. Même à leur mort médiatique et spéculative »
Mathilde Le Roy, CEO de Kazoart
NFTs are not dead !!! C’est le postulat de Mathilde Le Roy, CEO fondatrice de la startup bordelaise Kazoart. Elle-même collectionneuse de NFT et passionnée par cette innovation et son son potentiel, Mathilde est également cofondatrice de la NFT Factory, avec 100 autres entrepreneurs du Web3 en France. La NFT Factory un lieu de 400 m2 au coeur de Paris, qui a ouvert ses portes le 22 octobre dernier, et permet au grand public de découvrir et s’approprier les NFT : expositions de NFT, ateliers de découverte des NFT et du Web3, formations, coworking, incubateur de start ups dans le Web3, etc.
D’après l’entrepreneure, « c’est la hype et la spéculation à outrance qui sont morts, pas les NFT en eux-mêmes. Ce nouveau calme est même plutôt salvateur, plein de signaux montrent au contraire une consolidation en devenir. C’est une bonne chose que la hype des médias et des spéculateurs hyper opportunistes laisse enfin les vrais projets et vraies innovation avancer et prendre le temps de s’installer, avec leur part d’erreurs, de balbutiements, de MVP, de courbe d’adoption… Les NFT vont renaître, peut-être sous un autre nom, en tout cas avec des utilités concrètes. » Mathilde Le Roy livrera sa vision du futur des actifs numériques sur la scène du French Tech Day.
A 15h45, Scène 2
Le French Tech Day 2022 #FTDay22 aura lieu le 22 novembre au Palais de la Bourse. Ouverture des portes à 14h30, fin de l’événement à 21h. L’accès est gratuit mais l’inscription préalable est obligatoire.